Rêver un film impossible, filmer un être humain aussi insaisissable que le réel.
Un musicien voyageur.
Pas documentaire. Pas fiction.
Un être dont chaque mouvement, chaque mot, chaque note, chaque composition nous parle de nous, au présent, où que nous soyons. Il parle avec son saxophone, sa guitare, ses claviers.
Son nom : Alex Shang Hungtai, aka Dirty Bitches, aka Last Lizard
Un être humain, en 2016, fait musique de sa vie. Il a vécu en Europe, aux Etats-unis, actuellement il vit à Hong Kong.
Apatride , universel, il se retrouve dans un hôtel glauque en banlieue de Paris sous des néons blafards. Il va donner un concert au théâtre à côte, pour qui ? pour quoi ?
Son génie – son être particulier, ( un genre qui peut nous faire croire que l’humanité n’est pas définiitivement en phase de dégénérescence optimale) sera capté, rêvé et transcendés en un poème d’images et de sons
Le temps d’une nuit solitaire.
Il va nous aider à être moins seul,
alors que tout pousse à le croire,
dans la nuit de l’an 2017 et son obscurantisme, sa régression, son aveuglement.
Un point lumineux et fragile, bouleversant comme une lumière fugace aperçue dans un rêve de Hong Kong invente une musique que l’on croit reconnaître, une musique qui remonte à la surface de notre esprit et de notre coeur, la musique de nos rêves défaits.
Love and peace.
A.B
Voyez comme vos rêves accrochent la lumière…. Les clochards gardent nos yeux ouverts….please keep going !
Crimée I II III..idéal pour suivre du regard une lune se jouant des nuages.